Silmarillion Reine (sorcière)
Messages : 139 Date d'inscription : 11/09/2009 Age : 62 Localisation : Dordogne
| Sujet: [concours] Silmarillion/ La fuite Dim 1 Nov - 20:19 | |
| "les premiers jour du monde étaient à peine passés quand Féanor, le plus doué des elfes, créa les trois silmaris. Ces bijoux refermaient la lumière des deux arbres de Valinor. Morgoth, le premier prince de la nuit, fut fâché d'apprendre que la lumière allait se perpétuer. Alors il enleva les silmaris, et les fit sertir en Silmarillion et garder dans la forteresse d'Angband. Les elfes prirent les armes pour reprendre les joyaux et ce fut la première de toutes les guerres. " J.R.R. Tolkien
Pour dissimuler les silmaris aux yeux de tous, il les fit sertir au coeur d'un nouveau né, choisi parmi le peuple des hommes, car ils n'avaient aucun pouvoir et une fille pour sa fragilité.
C'était sans compter sur le pouvoir des Silmaris et le caractère bien trempé dont m'avaient dotée mes parents. C'est ainsi que j'ai grandi, moi Silmarillion, pauvre mortel, entre les mains de Morgoth, dans la forteresse d'Angband au milieu des montres.
J'y ai appris à me battre, à forger mon corps et mon esprit pour survivre. Les silmaris, en moi, me guidaient, m'apportaient la lumière sur toutes choses, bonnes ou mauvaises. Mon penchent naturel me rapprochant plutôt des bonnes choses, j'ai pue rassembler autour de moi, quelques guerriers aussi farouches que fidèles.
A 10 ans ma réputation n'était plus à faire . Pour mes ennemis, j'étais Silmarillion le démon, et pour mes amis Silma la guérisseuse. Car ce que j'aimai par dessus tout c'était d'aider et de soigner ceux qui souffraient.
A 20 ans, mon influence sur les troupes de Morgoth était tel, qu'il pris peur et voulu m'éliminer pour récupérer les silmaris.
Alors rassemblant mes plus fidèles guerriers, j'ai pris la fuite, profitant d'un soir ou le vin coulait à flot, agrémenté de quelques herbes de ma préparation. Quand, au petit jour, Morgoth s'aperçut de ma disparition, il entra dans une colère noir et lança ses troupes à notre poursuite.
Nous avions une bonne avance, mais nul par ou aller. Au soir du troisième jours, alors que nous étions accueilli chez un fermier, prés du feu, le grand père nous conta ses voyages. Il nous parla d'une terre dissimulé dans des brumes, au delà des montagnes. il en avait longé la frontière, sans jamais oser y entrer, bien qu'il y ai aperçu de bien belles vallées et d'étranges créatures, car quiconque y entre n'en ressortait jamais.
Ce monde me semblait particulièrement bien indiqué à notre situation, une terre inconnue, caché par des brumes, d'où personne ne revient, Morgoth ne si risquerait pas, et nous, nous n'avions pas l'intention de retourner à Angband.
Nous somme reparti le lendemain avec les indication du vielle homme, et l'espoir de trouver enfin un refuge. Les orcs nous ont rattrapé alors que nous étions en vue des brumes, et nous n'avons eu d'autres chois que de livrer bataille. Les combats furent d'une rare violence. Malgré le courage et le sacrifice de mes compagnons pour me protéger, je fus grièvement blessée en passant la brume, si bien que je me suis évanouie. En reprenant connaissance, j'étais seul. Rassemblant mes dernières force je me suis mise à leur recherche, sans succès. Alors j'ai voulu retraverser la brume mais mes pas me ramenaient toujours dans la vallée.
Epuiser, à bout de forces, je me suis écroulée, dans un magnifique champ de marguerites, sur cette terre qui je le sue plus tard s'appelait "Terre Immortel" | |
|